La SEZ : Société d’Ethnozootechnie

IDELE-PREMIERE

publié le 28 janvier 2020 (modifié le 28 décembre 2021)

Parmi les différents articles de la Lettre en ligne de l’Institut de l’Elevage : www.idele.fr, à noter :
IDELE :

N°637 du 15 janvier 2020

La place de l’élevage dans l’enseignement : premiers résultats du groupe de travail « Enseigner l’élevage » : Le GIS Avenir Élevages a mené 3 études pour mieux comprendre la place de l’élevage dans l’enseignement. Le groupe de travail « Enseigner l’élevage » publie les résultats de ses premiers travaux, parmi lesquels deux enquêtes menées auprès de lycéens et d’enseignants des filières générales.
http://idele.fr/no_cache/recherche/publication/idelesolr/recommends/la-place-de-lelevage-dans-lenseignement-premiers-resultats-du-groupe-de-travail-enseigner-lele.html

N°645 du 18 mars 2020

Analyse des conséquences de l’exposition au risque de prédation par le loup sur les élevages de la région Sud : Cette étude a le mérite de valoriser les données des cas-types de la région PACA. Elle permet également d’établir un bilan chiffré, à partir des éléments disponibles, de l’impact de la prédation par le loup dans les exploitations ovines spécialisées.

Les grands témoins, elles/ils nous éclairent sur la crise de Covid-19

L’Institut de l’Elevage a inauguré durant la période de confinement une série d’interviews diffusées en podcasts de grands témoins pour nous éclairer sur la crise que vivent les filières élevage, et bien au-delà les populations et l’économie du monde entier.
Découvrez dans Idele N°654 du 20 mai 2020 ceux qui ont bien voulu se prêter au jeu des questions/réponses :

Yuna Chiffoleau est ingénieure agronome et directrice de recherche en sociologie économique à Inrae. Elle co-anime le RMT Alimentation locale et s’intéresse au renouveau des circuits courts alimentaires depuis 15 ans. Elle est impliquée dans de nombreux projets de recherche-développement sur ce thème et intervient en tant qu’experte pour l’action publique, en France et en Europe. Elle est auteure de l’ouvrage "Les circuits courts alimentaires. Entre marché et innovation sociale" publié aux Editions Erès en 2019.

Jean-Luc Angot, chef du corps des inspecteurs de santé publique vétérinaire au Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, a bien voulu se prêter au jeu des questions/réponses. Cet expert international sur les questions vétérinaires explique fort clairement ce que l’on sait des maladies animales transmissibles à l’Homme (les ¾ des maladies émergentes selon l’OMS) ; des épisodes précédents de coronavirus et de grippes d’origine animale, avec leurs hôtes sauvages et domestiques ; des responsabilités de l’expansion agricole et de la déforestation dans les pays émergents ; du rôle favorisant du commerce international pour la transmission de ces nouveaux virus ; des stratégies mises en place par les organisations internationales... Sans omettre ce que l’on ne sait pas encore.

Eric Birlouez est agronome et sociologue de l’agriculture et de l’alimentation, il a écrit de nombreux ouvrages sur l’histoire culturelle et symbolique de l’alimentation, et suit de près les relations entre agriculture et société. Son regard, actuel mais ancré dans l’histoire, nous éclaire sur nos comportements sociaux dans la crise que nous traversons.

Anne Mottet est ingénieure agronome, docteure en Agro-Ecosystèmes. Après plusieurs années au GEB, département Economie de l’Institut de l’Elevage, elle travaille actuellement dans la division production et santé animale de la FAO où elle agit en faveur du développement d’un élevage durable. Elle nous fait profiter de son regard sur l’impact de la crise sur les économies rurales des pays du sud ainsi que sur les actions de soutien qui peuvent être mises en place.

N° 663 du 22juillet 2020

Pendant le confinement, de nombreuses organisations ont transformé leurs événements en webinaires. L’institut de l’élevage était aux rendez-vous et a contribué à de nombreux événements en ligne et organisé ses propres événements de restitutions Profitez de l’été et du replay pour voir ou revoir toutes les conférences que vous avez manquées sur idele.fr. Ces événements en ligne continuent à la rentrée
http://idele.fr/no_cache/recherche/publication/idelesolr/recommends/retrouvez-tous-les-derniers-webinaires-didele.html

N° 664 du 29 juillet 2020

Intérêts et limites de l’Analyse de Cycle de Vie pour fournir une information environnementale sur les produits de l’élevage herbivore

N° 668 du 16 septembre 2020

Personnes non issues du milieu agricole, le futur du renouvellement des générations en élevage ?
Une étude a mis en avant les motivations, freins et leviers de ce nouveau public, afin de les aider à réaliser leur rêve, et devenir éleveur ! http://idele.fr/fileadmin/medias/Documents/Rapport_de_synthese_NIMA_VF.pdf

N° 671 du 8 octobre 2020

WebConférences : Dans un contexte sanitaire qui a conduit à l’annulation des salons d’automne, Space et Sommet de l’Élevage, l’Institut de l’Élevage s’organise pour proposer à distance les conférences prévues. 5 webinaires ont déjà eu lieu entre le 15 et le 18 septembre et sont accessibles en replay. La programmation d’une quinzaine de conférences sur d’autres sujets est en cours, du 28 septembre jusqu’à la fin du mois d’octobre.

N° 673 du22 octobre 2020

Insémination par l’éleveur (IPE) : C’est une pratique qui se développe dans toutes les zones d’élevage depuis la fin des années 2000. Son développement est lié à l’accroissement de la taille des troupeaux, mais aussi à la volonté de ces éleveurs, de piloter de façon autonome la reproduction de leurs vaches et génisses, tant pour des raisons techniques, qu’économiques. En 2019, ce sont plus de 5000 éleveurs qui ont réalisé eux-mêmes plus de 725 000 inséminations bovines dans leurs troupeaux. L’IPE représente 10.6% des inséminations bovines en France

N° 675 du 4 novembre 2020

Compte rendu du projet APEX : Amélioration des Performances de l’Elevage eXtensif dans les marais et vallées alluviales : Ce projet, piloté par la Chambre Régionale d’Agriculture des Pays de la Loire, de 2014 à 2017, est né de la volonté d’éleveurs en zones de marais et dans les vallées alluviales. L’objectif du projet APEX était de fournir aux éleveurs des clés d’amélioration de leur système d’exploitation, spécifiques à ces milieux à fortes contraintes naturelles. L’enjeu était également d’assurer le maintien de l’attractivité des marais pour les nouvelles générations et d’enrayer le phénomène actuel de non renouvellement des actifs.

N° 676 du 12 novembre 2020

Vers la création d’un observatoire des anomalies génétiques en petits ruminants : Chaque année, les filières de petits ruminants rapportent l’émergence de nouvelles anomalies ou tares génétiques dans les populations. Compte tenu de l’impact économique, social ou même génétique qu’elles peuvent avoir, les responsables professionnels des filières ovins lait, ovins viande et caprins lait ont affirmé la nécessité et leur volonté de créer un observatoire des anomalies génétiques en petits ruminants. Cet observatoire permettra de détecter précocement les anomalies, de les caractériser, et de pouvoir, quand cela est nécessaire, les gérer dans les programmes de sélection. Le projet CASDAR PRESAGE (Préparer la création d’un observatoire des Anomalies Génétiques en Petits Ruminants) a été sélectionné dans le cadre de l’appel d’offre du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation.

N° 677 du 19 novembre 2020

CAP’2ER® : Afin de préciser les interactions entre un élevage et l’environnement et d’engager des démarches de progrès avec les éleveurs, les filières d’élevage de ruminants ont développé un outil d’évaluation et d’appui technique. CAP’2ER® (Calcul Automatisé des Performances Environnementales en Elevage de Ruminants) a pour objectif d’évaluer les impacts environnementaux à l’échelle d’une exploitation d’élevage de ruminants et par atelier (bovin lait, bovin viande, ovin viande).

N° 678 du 25 novembre 2020

Etude de vulnérabilité des systèmes d’élevage au risque de prédation par le loup dans les trois départements de la Corrèze (19), de la Creuse (23) et de la Haute Vienne  : Partout dans les trois départements, les facteurs propices à l’installation du loup sont réunis et l’analyse menée dans cette étude montre que ceux-ci, qu’ils soient liés au milieu naturel du Limousin, ou aux systèmes de production actuellement présents, concourent à un risque élevé de vulnérabilité et de sensibilité des élevages à la prédation par le loup. Il ressort de ce travail l’importance d’adapter les leviers existants (chiens de protection et clôtures renforcées) et d’en mettre au point de nouveaux, innovants, permettant la meilleure co-adaptation possible entre le prédateur, l’élevage à l’herbe et les multi-usagers du territoire ; tout en intégrant les attentes sociétales concernant les modes de production et les filières de qualité.

N° 681 du 16 décembre 2020

Race caprine du Rove, répertoire 2020 des éleveurs  : La mise en place d’un répertoire des éleveurs permet un suivi de la variation des effectifs et des types d’élevage de la race. Le nombre d’éleveurs est en hausse, avec 134 éleveurs recensés. Le nombre des petits élevages (moins de 25 chèvres) est en augmentation. La Rove reste majoritairement présente en région PACA, berceau de la race, et le département des Bouches du Rhône. La progression des éleveurs fromagers a été stoppée et à l’inverse on note une augmentation de la part des éleveurs amateurs ou en écopâturage. Les élevages ont en moyenne une petite vingtaine d’année, avec environ un quart des élevages de création récente (moins de 5 ans).

N° 684 du 20 janvier2021

La filière chiens de protection : elle s’inscrit dans une démarche collective, professionnelle, volontaire et sur le long terme. Elle est mise en place au service des éleveurs d’animaux de rente (ovins, caprins, camélidés, volailles, bovins…), utilisateurs de chiens de protection. Les deux premières étapes de la structuration de cette filière chiens de protection consistent à recenser les chiens de protection des troupeaux en activité et à créer un réseau d’éleveurs-naisseurs de chiots, destinés à la protection des troupeaux.

N° 685 du 27 janvier2021

Les ruminants laitiers sont producteurs nets de protéines
Les ruminants sont accusés de détourner des ressources nécessaires à l’alimentation humaine. Est-ce vraiment le cas ? Le projet CAS DAR ERADAL vous livre ses chiffres clés à travers trois vidéos, pour les trois principales filières laitières. Ces résultats montrent clairement que les systèmes de ruminants laitiers sont en moyenne producteurs nets de protéines en France.

N°686 du 3 février 2021

A la Une : CAIcalor : étude de l’adaptation des bovins au changement climatique
Dans le contexte de réchauffement climatique actuel, l’un des principaux enjeux pour les filières d’élevage est l’adaptation des animaux aux vagues de chaleur. Les bovins sont particulièrement sensibles au stress thermique qui affecte négativement leur bien-être et leurs performances. Le projet CAICalor, démarré en septembre 2020, a pour objectif d’étudier l’adaptation au changement climatique chez les vaches laitières en production et les reproducteurs d’élite laitiers et allaitants, sur les plans phénotypique et génétique.

N°691 du 10 mars 2021

La place des femmes dans l’élevage : Si les femmes ont toujours été présentes dans le monde agricole notamment en tant que bénévoles puis conjointes collaboratrices, elles sont aujourd’hui mieux reconnues et s’installent davantage en tant que cheffes d’exploitation.
26% des exploitants en activité dans des fermes d’élevage d’herbivores sont des femmes. 38% des installés en 2017-2018 dans des fermes d’élevage d’herbivores sont des femmes. Ce pourcentage varie selon le type d’exploitations :élevage équin (62%), laitier caprin (50%), laitier ovin (43%), ovin viande (37%), élevage bovin (32%). (Source MSA-Idele).

N°694 du 31 mars 2021

A la Une : Idele_mag n° 19 - mars 2021  : Ce numéro est consacré aux concepts One Health, One Welfare. Ils mettent l’accent sur le fait que la santé et le bien-être de animaux, des humains et de l’environnement sont étroitement connectés. A la lecture, vous découvrirez les nombreux travaux menés par Idele dans ces domaines.

N°696 du 14 avril 2021

La laine un produit valorisable  : Jusqu’au milieu du 19è siècle, la laine a été une source de revenus importants pour les éleveurs et notamment pour les éleveurs de Mérinos d’Arles. Puis peu à peu cette fibre naturelle a perdu de son intérêt au profit de la fibre synthétique. Les éleveurs ont alors réorienté leur choix de sélection et d’élevage vers la production de viande. Cette fiche propose un tour d’horizon de différentes initiatives, des motivations et des objectifs des éleveuses et éleveurs, des moyens, des problèmes rencontrés et des solutions mises en place pour mieux valoriser leur laine.

N°697 du 14 avril 2021

Elevage ovin : Vivre face à la prédation : Ce recueil de témoignages d’éleveurs et de techniciens ovins de la région Sud-Provence-Alpes-Côte-d’Azur, apporte un éclairage au niveau des impacts sociaux et psychologiques induits par la prédation. Il vient compléter une publication technico-économique , réalisée par l’équipe Inosys réseau d’élevage – ovin viande du Sud-Est et soulève des questions sur la durabilité de la production ovine.

N°698 du 28 avril 2021

Projet Clochète : Caractérisation du comportement et localisation des ovins et caprins grâce à des technologies embarquées : En zones méditerranéennes et de montagne, l’élevage pastoral de petits ruminants joue un rôle agro-écologique essentiel. Toutefois, ces exploitations sont soumises à une charge et des conditions de travail de plus en plus pensantes, dans un contexte d’augmentation de la prédation et d’aléas climatiques. Les nouvelles technologies peuvent permettre d’alléger et modifier le travail, rendant ainsi le métier d’éleveur plus attrayant.
Le projet Clochète a permis de rédiger le cahier des charges d’un outil unique : un collier connecté associant un GPS, pour permettre la localisation, et un accéléromètre pour caractériser le comportement des animaux. Cet outil d’aide à la localisation des animaux permettra notamment d’alerter en cas de sortie du territoire autorisé, de connaître la localisation et l’activité du troupeau, d’avoir une meilleure connaissance des circuits de pâturage et ainsi d’optimiser la gestion des surfaces.

N°702, 28 mai 2021

Ecuries d’entraînement de trotteurs : Premiers repères technico-économiques 2020 pour une meilleure connaissance de ces systèmes ; Comprendre leur fonctionnement, élaborer des premiers repères technico-économiques, évaluer leur rentabilité, partager ces repères dans le cadre de la formation, de l’installation et du conseil, permettre aux professionnels de se situer, identifier leurs facteurs clés de réussite et amener des solutions concrètes pour améliorer leurs résultats.

N°706, 23 juin 2021

Compte rendu d’activité de l’Institut de l’Elevage 2020-2021.

N°707, 30 juin 2021

A la Une : Le revenu des exploitations bovins-lait 2020 : baisse généralisée pour tous les systèmes.

N°708, 7 juillet 2021

A la Une : Dossier annuel ovin Année 2020, Perspectives 2021, dossier Economie de l’élevage n°59, avril 2021.

N°709, 15 juillet 2021

A la Une : Cycle de webinaires Marchés Mondiaux 2021 : les supports.

N°711, 28 juillet 2021

Inséminations par l’éleveur en 2020  : L’insémination des vaches par leur éleveur est une pratique qui continue de progresser chaque année, notamment dans les troupeaux de grande taille. En 2020, 5 394 éleveurs IPE, soit + 6% que l’année précédente, ont réalisé 795 824 inséminations totales, soit une progression de +10% par rapport à 2019. Au total les inséminations réalisées par les éleveurs eux-mêmes représentent 12% des IA totales.

N°717 du 7 octobre 2021

Retrouver les chiffres clés des filières bovine, ovine et caprine.

N°718 du 13 octobre 2021

Sommet de l’Elevage 2021 : Retrouver toutes les conférences proposées par l’Institut de l’élevage.
https://idele.fr/detail-dossier/sommet-de-lelevage-2021-toutes-les-conferences-proposees-par-linstitut-de-lelevage

N°719 du 21 octobre 2021

Le modèle d’élevage herbivore français, acteur du développement durable. publié le 19/10/2021 par 4 ingénieurs de l’institut de l’élevage, Eva Groshens, Delphine Neumeister, Anne-Charlotte Dockès, Philippe Chotteau.
https://idele.fr/detail-article/le-modele-delevage-herbivore-francais-acteur-du-developpement-durable-1

N°723- 18/11 novembre 2021

Les chiffres clés des prairies et parcours en France : Les atouts et caractéristiques des prairies et parcours en France, au cœur des territoires et au menu des ruminants.
En France, 11,5 millions d’hectares de prairies et environ 2,2 millions d’hectares de parcours nourrissent 27 millions de ruminants. Ces surfaces herbagères produisent 55 millions de tonnes de matière sèche d’herbe qui sont pâturées à 58 % et fauchées à 42 % pour être conservées sous forme de foin, d’ensilage ou d’enrubannage. En plus d’être la principale source de nourriture des ruminants de France, ces prairies et parcours ont de multiples atouts verts qui sont détaillés dans ce livret. Une façon inédite et ludique d’en savoir plus sur les prairies et les parcours.
Publié le 17/11/2021 par Brendan Godoc (Institut de l’Elevage), Crestey Milène (Institut de l’Elevage)

N°725- 1° décembre 2021

GenTORE - Un projet européen de phénotypage de précision en élevage bovin : Le projet développera, à l’aide de la génomique des outils de sélection et de gestion du troupeau, pour permettre aux éleveurs d’optimiser leur gestion de l’élevage en recherchant le meilleur équilibre entre résilience et efficience dans une grande variété d’environnements changeants (Publié le 29/11/2021 par Florence Macherez)